Une équipe internationale, conduite par le CEA et ses partenaires de l’institut de recherche japonais RIKEN, a pu déterminer expérimentalement la structure d’un noyau de zirconium très riche en neutrons (110Zr), une première qui remet en cause les théories employées jusque-là. Produit par l’accélérateur japonais RIBF et analysé grâce au détecteur MINOS, ce noyau lourd s’avère plus déformé que ce que les modélisations prévoyaient. Ces travaux, menés en collaboration avec le CNRS et les Universités de Lyon et de Paris-Sud, sont publiés le 18 janvier dans Physical Review Letters et font l’objet d’une suggestion de l’éditeur.
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