La collaboration Stereo, composée de chercheurs du CEA, du CNRS, de l’Université Grenoble Alpes (UGA), de l’Université Savoie Mont Blanc (USMB), de l’Institut Laue-Langevin (ILL) et de l’Institut allemand MPIK Heidelberg, n’a pas trouvé trace de neutrino stérile pendant ses six années de mesure. Un résultat qui a des implications dans de nombreux domaines de la physique. Leur étude est publiée le 12 janvier dans Nature.
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(crédit image : D. Morel / CEA)