Durant trois années, il s’agit d’un projet d’étudiants travaillant sous la direction de leurs tuteurs. A présent, la maturité des innovations proposées a permis de construire un consortium de PMEs et d’instituts européens, nommé ELICSIR. L’ambition de ce consortium est d’élever encore la maturité des points clés du projet TALC au niveau de TRL 3 (Technological Readyness Level allant de 1 à 9). Malheureusement, ce consortium échoue de peu à une sélection de financement européen H2020 Future Emerging Technologies (FET), avec le rang de 18ème projet européen sur 850. Loin d’être découragé par ce premier échec, le consortium est de nouveau en piste pour l’appel FET suivant dont la réponse est attendue en octobre 2016.
Les étudiants impliqués dans le projet, quant à eux, soumettent à l’ESA une demande de vol en microgravité dans l’airbus 0G. Il s’agit là de tester la robustesse du déploiement et le repliement d’une maquette de TALC à l’échelle de 1m de diamètre. La maquette et le film constitueront un très fort message de communication sur la validité de l’ensemble du concept.
Mi 2016, le projet retient son souffle. Les étudiants travaillent intensément sur le projet, dans l’attente d’une arrivée de ressources et de l’entrée de TALC dans l’ère du développement technologique industriel.
Du côté des astrophysiciens, les yeux brillent quand il s’agit de parler du projet. Ils commencent à penser au spectro-imageurs, spectromètres à haute résolution et polarimètres à installer sur ce télescope.
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