Dans un article paru dans l'Astrophysical Journal, une équipe internationale comportant deux chercheurs du Service d'Astrophysique-Laboratoire AIM du CEA-Irfu, a réussi à détecter dans la lumière réfléchie par la planète Neptune, la trace des oscillations solaires, ces très faibles variations de luminosité qui traduisent les vibrations de la surface solaire.