La collaboration GBAR regroupe 50 membres de 15 laboratoires dans le but de mesurer l’accélération gravitationnelle des atomes d’antihydrogène. Elle vise une installation au CERN débutant en 2015 pour une prise de données avec un faisceau d’antiprotons en 2017.
Le groupe du SPP est à l’origine de ce projet. Il a développé une source de positons de haute intensité, basée sur un accélérateur d’électrons, et a réussi à stocker ces positions dans un piège de Penning.
Le groupe GBar du SPP comprend cinq physiciens et quatre étudiants. Le chef de groupe est Yves Sacquin.