Projets 2009

12 octobre 2009

La nature de ces nouvelles fonctions

 

 

Des progrès théoriques importants survenus dans les cinq dernières années permettent d'étendre considérablement la notion de distributions de partons dans un nucléon ou un méson. Ils fournissent un cadre unificateur entre des études de la structure du nucléon aussi différentes que, entre autres, la mesure de facteurs de forme en diffusion élastique d'électrons ("basse" énergie) et celle des distributions de partons en diffusion profondément inélastique (DIS) d'électrons ou de muons ("haute" énergie).

 

 

Les distributions de partons "ordinaires" expriment la probabilité q(x) = ‹N(p)|ψ*(x)ψ(x)|N(p)› qu'un des quarks du nucléon N porte une fraction x de l'impulsion p de celui-ci. On peut de même définir et mesurer la probabilité Δq(x) pour qu'un quark de saveur donnée porte une certaine fraction du spin du nucléon. La mesure de ces distributions est maintenant presque complète. Elle a aussi permis d'établir ou de confirmer les "lois d'évolution en Q2", c'est-à-dire la façon dont les observables dépendent de l'énergie-impulsion transférée par le lepton incident. Comme le cadre théorique en est bien défini, cette dépendance sera négligée par la suite, pour faciliter la présentation.

12 octobre 2009

La nature de ces nouvelles fonctions

 

 

Des progrès théoriques importants survenus dans les cinq dernières années permettent d'étendre considérablement la notion de distributions de partons dans un nucléon ou un méson. Ils fournissent un cadre unificateur entre des études de la structure du nucléon aussi différentes que, entre autres, la mesure de facteurs de forme en diffusion élastique d'électrons ("basse" énergie) et celle des distributions de partons en diffusion profondément inélastique (DIS) d'électrons ou de muons ("haute" énergie).

 

 

Les distributions de partons "ordinaires" expriment la probabilité q(x) = ‹N(p)|ψ*(x)ψ(x)|N(p)› qu'un des quarks du nucléon N porte une fraction x de l'impulsion p de celui-ci. On peut de même définir et mesurer la probabilité Δq(x) pour qu'un quark de saveur donnée porte une certaine fraction du spin du nucléon. La mesure de ces distributions est maintenant presque complète. Elle a aussi permis d'établir ou de confirmer les "lois d'évolution en Q2", c'est-à-dire la façon dont les observables dépendent de l'énergie-impulsion transférée par le lepton incident. Comme le cadre théorique en est bien défini, cette dépendance sera négligée par la suite, pour faciliter la présentation.

 

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